François Lambert prend les grands moyens pour tenter de mettre fin à sa chicane avec la prof.
François en a visiblement assez et il prend les grands moyens pour mettre fin à tout ça
La saga qui oppose l'entrepreneur François Lambert à la professeure de la Polytechnique de Montréal Sarah Dorner semble vouloir se poursuivre...
Depuis quelques jours, François Lambert est au coeur d'une rivalité virtuelle qui l'oppose à l'enseignante Sarah Dorner.
Pour la petite histoire, tout a débuté lorsque François Lambert a réagi sur les réseaux sociaux au sujet d'une chronique qu'il a entendue à la radio. La publication de l'entrepreneur avait suscité énormément de réactions, dont une de Sarah Dorner, qui avait visiblement échaudé M. Lambert.
Un échange plutôt musclé verbalement a eu lieu, puis quelques jours plus tard, François Lambert a déclaré être victime d'intimidation à la suite de cet incident.
Voilà donc que mardi, Sarah Dorner a publié une capture d'écran montrant une vieille publication de François Lambert qui date d'octobre 2018, alors qu'un extrait est encadré. La légende qui accompagne la capture d'écran indique une citation de cet extrait: «Plus j'écoutais et plus cela ressemblait à la valorisation de la victimisation. Au Québec, on aime jouer aux victimes.»
Voici sa publication:
L'entrepreneur a repartagé la publication en y allant d'un message très clair, tout en prenant le soin d'identifier la Polytechnique de Montréal:
«Bien entendu que ce n'est pas du bullying. Je suis juste un bourgeois avec la couenne trop sensible.
C'est certain que lorsque ton employeur @polymtl laisse une de ses prof faire du bullying et de la misandrie sur les réseaux sociaux. Tu peux y aller à plein régime.
J'ai quand même envoyer tous ses tweets à l'ordre des ingénieurs du Québec pour avoir leur opinion sur ce type de comportement à répétition @OIQ afin de comprendre si ça fait honneur à la profession ou si ça va contre le code d'éthique.»
Voici la publication en question:
Bref, quelque chose nous dit que cette histoire n'est vraiment pas terminée...